Hip-hop 4 Life est un site magnifique qui comme AlloRap, date de 2011. On peut s’y régaler des dernières actu Rap US, des chroniques des meilleurs albums, des interviews exclusives et même des playlists pour tes soirées. A noter pour les puristes un shop avec tous les classiques Rap US en vinyle. Dans ce billet, tu va découvrir les chroniques qui ont suscité le plus de réaction…
DR. DRE – COMPTON (27 commentaires)
Straight Outta Compton, il est un Nigga With Attitude, il est le G-Funk, il est le Gangsta Rap, il est la West Coast, 16 ans qu’on l’attendait, il a pris du muscle mais sans lui le rap a perdu du poids : le Docteur est de retour pour une piqûre de rappel.
SCHOOLBOY Q – OXYMORON (23 commentaires)
Par pitié, arrêtez de comparer Kendrick Lamar et Schoolboy Q !! Bien sûr que Kendrick est un meilleur lyriciste mais la musique de Q est bien plus fun et jubilatoire. Schoolboy n’est pas un poète, il ne fait pas du rap conscient mais des putains de bangers !!
BENEFICENCE – BASEMENT CHEMISTRY (18 commentaires)
Beneficence c’est le MC dont tu n’entends jamais parler mais qui te dis quand même quelque chose… C’est le rappeur dont le nom apparaît sur plusieurs projets underground que t’as écoutés par le passé mais que tu n’as jamais vraiment retenus.
SI TOI AUSSI T’AS TROUVÉ LE DERNIER EMINEM À CHIER… (18 commentaires)
Si toi aussi tu te demandes si un jour Marshall refera de la bonne musique… Et bien sache que tu n’es pas seul, je suis dans ton cas et je vais t’aider à traverser cette mauvaise passe en te présentant 3 putain de pépites à écouter à la place du dernier Em. Des albums de malade qui passeront inaperçu pendant la tempête Shady/Aftermath mais qui te permettront à toi, fan de real hip-hop, de te remettre de cette déception sans nom.
JOEY BADA$$ – B4.DA.$$ (16 commentaires)
Comme beaucoup je suis devenu un grand fan de Joey Bada$$ après sa classic mixtape 1999. Depuis, je suis son évolution, pas forcément synonyme d’amélioration puisque Summer Knight n’était en rien supérieur à son ainé. Cependant, au niveau du flow, de la hargne, de la maturité vocale, de la technique, Joey Bada$$ a clairement progressé.
KANYE WEST – THE LIFE OF PABLO (14 commentaires)
Qu’il est loin le temps où Kanye West jouait avec des samples soul pitchés comme avec des petites voitures. Le Kanye 2016 semble être à des années lumières de l’ourson et son cartable. Comme beaucoup d’entre vous je suis aussi un grand fan de ce Kanye là, mais non, même influencé par la nostalgie, il ne me manque pas, pas du tout.
KENDRICK LAMAR – GOOD KID M.A.A.D CITY, 1 AN APRÈS (14 commentaires)
Un an seulement que Good Kid m.A.A.d City hante nos enceintes et pourtant son influence sur le game est déjà indéniable. Comme en atteste l’incroyable buzz autour de ce vers sur Control, Kendrick n’est plus le jeune rappeur talentueux de Section 80, il est la nouvelle superstar du rap, le nouveau boss de la West Coast et accessoirement le nouveau Best Rapper Alive !
G-UNIT – BEG FOR MERCY LES 10 ANS, CLASSIQUE ?? (13 commentaires)
Cette semaine on fêtait bien évidemment les 10 ans du Black Album de Jay-Z, un des plus gros classiques des années 2000. Mais ce n’est pas une raison pour ne pas parler de l’anniversaire d’un autre album marquant, Beg For Mercy, sorti le même jour, le premier album de G-Unit célèbre lui aussi ses dix ans. Complex a lancé le débat et c’est une très bonne idée, alors 10 ans après, classique ou pas ??
KENDRICK LAMAR – TO PIMP A BUTTERFLY (12 commentaires)
Il est sans aucun doute le rappeur le plus talentueux de sa génération, certains le voient comme le sauveur du rap, le digne successeur de 2 Pac, et ce n’est pas un hasard si 20 ans après Me Against The World, Kendrick Lamar vient le ressusciter, littéralement et spirituellement, avec son 2ème album To Pimp a Butterfly.
KENDRICK LAMAR – DAMN (10 commentaires)
Non loin des buildings de la Section 8, un Kendrick Lamar juvénile se posait en observateur de sa génération A.D.H.D sous les traits de Tammy and Keisha. Il nous a ensuite embarqués avec ses homies dans le van de sa mère pour un storytelling grandeur nature retraçant brillamment ses jeunes années dans la violence de Compton. Fort de son nouveau statut de « sauveur » du rap, Kendrick a pris tout le monde à contre-pied avec le déstabilisant To Pimp A Butterfly, une expérimentation jazz/funk profondément ancrée dans l’héritage musical noir américain, une composition aussi complexe que la métamorphose de la chenille en papillon, allégorie qui sert de fil conducteur à un album dont l’ambition est de parler à toute une communauté, avec comme point d’orgue l’hymne contestataire Alright.
