Google Music ouvre officiellement… mais pas en France

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Google Music, dont j’avais commenté le lancement en version bêta cet été, est open depuis le 16 novembre…

Dispo pour le moment seulement – et de manière officielle – aux USA [1], même si on sait qu’il existe des procédures pour baiser cette limitation, Google Music offre désormais une ribambelle de services qui ont de quoi faire baver les accrocs de son sur téléphone et même sur tablette.

Avec ce service totalement gratos, tu peux stocker dans le « cloud » ta collection perso de son, jusqu’à 20.000 pistes, et d’y toucher à partir de n’importe-quelle bécane sous internet ou smartphone pourvu qu’il soit sous Android.

La synchro de ta collection et de tes playlists est automatique entre tous tes appareils !

Achat et partage

Après moult négociations avec un paquet de majors et de labels indé, GM affiche également sa boutique sur Android Market, sur lequel il est facile d’acheter des pistes à l’unité ou des albums complets parmi un choix de 13 millions de titres chez Sony, EMI, Universal et sur un millier de labels underground. Une fois payées, ces chansons s’ajoutent directement à ta collection sonore.

E‰videmment, l’inclusion dans Google+ est également de la partie : il est maintenant possible de partager en écoute sur sa timeline ou vers ses groupe de potes un titre entier, mais cette fonction est limitée à une seule diffusion.

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Le player Google Music dans Google+

Les  » zindés  » invités à la teuf

Les « stars inconnues » ou ne possédant pas de contrat peuvent également jouir d’un service qui leur permet de publier leurs ouvrages sur la plateforme pour « buzzer », via Artist Hub, sur lequel ils peuvent éditer leur page, pratiquer leurs tarifs et brader immédiatement au public. Une fonctionnalité Jamendo like.

Google Music est utilisable sur la version internet d’Android Market, et sera atteignable d’ici plusieurs jours sur tous les appareils Android à partir de la version 2.2. Aucune information par contre sur la dispo hors des satanés USA.

[1] pour les coutumières et maladroites questions de droits qui érigent les nouveaux murs de Berlin qu’internet avait fait tombé, comme quoi il n’y a pas que les politiciens qui séparent les hommes, il y a aussi les producteurs avides et avares

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